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4 leviers pour favoriser l’obtention d’un crédit professionnel

Comment favoriser l’obtention d’un crédit professionnel ? – Pôle Sociétés

Plusieurs étapes se révèlent bien souvent indispensables avant de demander un crédit professionnel. Analyse de la situation financière de l’entreprise, identification du besoin de financement, diversification des sources de financement… Découvrez comment maximiser vos chances d’obtenir un prêt pour votre société.

1. Analyser la situation financière de l’entreprise

Les organismes de financement s’appuient principalement sur des systèmes internes pour évaluer la solidité financière d’une entreprise et, ainsi, accorder ou refuser un crédit professionnel. Toutefois, la société peut auto-évaluer sa situation financière afin d’éventuellement entreprendre des actions correctives. En la matière, plusieurs outils se révèlent utiles.

  • Le diagnostic AFDCC : basé sur 6 ratios (rentabilité opérationnelle, impact financier, fonds de roulement, trésorerie nette, capacité de financement et dettes fiscales et sociales), cet outil permet d'évaluer le risque de défaillance de l'entreprise à 12 mois.
  • Le rapport NOTA-PME : basé principalement sur les comptes annuels, cet outil permet de réaliser un autodiagnostic de la situation financière de la société. Il inclut notamment un Indice de performance financière reposant sur 3 ratios (rentabilité, solvabilité et robustesse).
  • La cotation Banque de France : disponible uniquement pour les entreprises dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à 750 000 €, ce scoring permet principalement d'estimer la capacité d'une société à respecter ses engagements financiers. Pour cela, elle offre notamment une cote de crédit évaluant la capacité de remboursement de l'entreprise à 3 ans.

2. Identifier son besoin de financement

En parallèle, il convient d’identifier avec précision l’objet et les conditions du financement recherché par l’entreprise. Cette démarche consiste à réaliser un plan de financement, expliquant notamment la temporalité du projet (court, moyen ou long terme), la répartition des sources de financement (crédit bancaire, comptes courants d'associés, prêt d'honneur, etc.) et la rentabilité attendue. À titre d’exemple, le prêt professionnel peut servir à financer :

  • un investissement lié à l'innovation ;
  • un besoin récurrent ou ponctuel de trésorerie ;
  • un investissement dans les actifs et l'immatériel de la société ;
  • un projet de développement international.

3. Évaluer la capacité d’emprunt de la société

Avant de solliciter un crédit professionnel, l’entreprise doit également déterminer sa capacité d’emprunt : il s'agit du montant maximal que la société peut obtenir pour financer son projet. Pour cela, vous devez principalement tenir compte de :

  • vos capitaux propres (capital initial, bénéfices non distribués, etc.) ;
  • vos besoins de financement (dépenses envisagées, bilan prévisionnel, calendrier des échéances, etc.) ;
  • vos emprunts en cours.

Ces éléments vont notamment permettre à l'entreprise d'évaluer sa capacité d'autofinancement et sa capacité d’endettement. Deux indicateurs indispensables pour déterminer les possibilités d’emprunt de la société.

4. Présenter des garanties solides

Les banques et autres organismes de financement sont généralement réticents à assumer seuls le risque de défaillance de l’emprunteur. C’est pourquoi, l’entreprise doit idéalement présenter plusieurs sources de financement afin d’afficher des garanties solides et de minimiser le risque pour le prêteur. En la matière, plusieurs leviers sont envisageables.

  • L’apport de l’entreprise : en règle générale, le ratio entre les fonds propres de l'entreprise et les emprunts doit être a minima de 50/50. L'entreprise aura donc davantage de chance d'obtenir son crédit si elle dispose d'un apport conséquent.
  • Le prêt d'honneur : il s'agit d'un prêt à taux zéro accordé pour compléter les fonds propres de l'entreprise. Garantissant la solidité financière de votre projet, ce type de prêt est notamment accordé par Initiative France et le Réseau Entreprendre.
  • Les subventions : si vous souhaitez financer un projet innovant ou si vous disposez d'un profil d'entrepreneur spécifique (jeune par exemple), vous pouvez demander des subventions auprès de différents acteurs, une nouvelle fois pour augmenter le montant de votre apport personnel.

Les autres leviers : avant de solliciter un prêt, l’entreprise peut également augmenter ses fonds propres via un compte courant d’associés, l’ouverture de son capital à des investisseurs externes ou encore le recours à la « love money ».

Sommaire

  • 1. Analyser la situation financière de l’entreprise
  • 2. Identifier son besoin de financement
  • 3. Évaluer la capacité d’emprunt de la société
  • 4. Présenter des garanties solides

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