Lily facilite la vie vient de réaliser une levée de fonds de 3 millions d’euros pour financer sa croissance. Cette pépite de la RH Tech peut compter sur l’arrivée de Garance dans son capital pour poursuivre le développement de sa solution de prévention des risques liés à la surcharge mentale.
Une plateforme innovante pour améliorer la qualité de vie
Lily facilite la vie est une plateforme d’assistance des salariés qui vise à réduire l’impact des problèmes personnels sur le fonctionnement de l’entreprise. En s’appuyant sur des conseillers experts dans leur domaine, elle aide à gérer de multiples problèmes et soulage la charge mentale. Elle propose ainsi la possibilité de dialoguer avec des spécialistes de différents domaines, de lire des contenus écrits par des experts ou encore d’accéder à une boutique de services. À la recherche d’un plombier en urgence pour une fuite d’eau ? Une question sur l’inscription à ParcourSup de votre enfant ? Un besoin de mieux gérer votre stress ? Lily facilite la vie se charge de répondre au mieux à ces besoins que peuvent connaître tous salariés. Ainsi, elle réduit l’impact des problèmes personnels sur le fonctionnement des équipes, et montre que l’entreprise se soucie du bien-être de ses collaborateurs.
Vers une approche hybride entre IA et conseils d’experts
Créée en mars 2018 par Magaly Siméon, Sarah Penven et Chris Navas, cette solution QVT séduit de plus en plus d’entreprises ayant compris qu’un collaborateur se sentant bien dans sa sphère privée était un collaborateur performant au travail. Pour accompagner sa croissance, elle s’est tournée vers Garance. La mutuelle aux plus de 250 000 adhérents vient d’entrer au capital de la start-up à hauteur de 20%, ce qui permettra d’injecter 3 millions d’euros dans ses caisses. Après une levée de fonds en seed de 500 000 euros réalisée l’année dernière, l’arrivée de ce nouveau soutien aidera les équipes de Lily facilite la vie à proposer des réponses encore plus adaptées aux besoins des salariés. Pour cela, l’idée consiste notamment à se tourner vers l’intelligence artificielle. “À partir d’un historique des demandes, nous allons développer une dimension automatique, semi-automatique et enfin humaine qui se consacrera aux situations les plus complexes”, a ainsi expliqué Magaly Simeon avant d’ajouter : “L’IA va également pousser les centres d’intérêt susceptible de correspondre aux membres”.
