La start-up française TurnK, spécialisée dans l'intégration et l'automatisation d'outils métier sans développement informatique, vient de boucler une levée de fonds de 2 millions d'euros. Cette opération, menée par les investisseurs IRDI Capital Investissement et GSO Innovation, va permettre à la jeune pousse de renforcer ses équipes, d'accélérer le développement de ses solutions no code / low code et d'offrir une automatisation rapide et économique des processus métier aux entreprises.
Une expertise approfondie au service de l'efficacité opérationnelle
Fondée en 2021 à Bordeaux par Hubert Mézin, TurnK se positionne comme un acteur de référence sur le marché du no code / low code. Ces outils et plateformes permettent de développer des applications et des logiciels sans nécessiter de compétences avancées en programmation informatique, en s'appuyant sur des briques préfabriquées et des modèles prédéfinis.
L'objectif de TurnK est de permettre aux entreprises d'automatiser leurs processus métier sans recourir à des développements informatiques complexes et onéreux. Les processus métier désignent l'ensemble des tâches et activités qu'une entreprise doit exécuter quotidiennement pour assurer son fonctionnement, telles que la gestion des commandes, la facturation, le suivi des clients, etc. Ces processus, souvent multiples et chronophages lorsqu'ils sont gérés manuellement, peuvent être grandement optimisés grâce à l'automatisation.
TurnK s'appuie sur une expertise pointue de la gestion des données et des fonctionnalités natives des principaux outils du marché, tels que Salesforce, Hubspot ou encore Zendesk. En utilisant les solutions no code / low code, la start-up est en mesure de développer rapidement des applications sur mesure pour automatiser et rationaliser les processus métier de ses clients, sans avoir à écrire des milliers de lignes de code.
La méthodologie no code / low code de TurnK offre de nombreux avantages aux entreprises. Elle permet de réduire de moitié les coûts de développement, d'accélérer les délais de livraison et de minimiser les besoins en maintenance. Une approche qui a déjà séduit plus de 150 clients en seulement 3 ans, dont des entreprises renommées comme Michelin, Barnes et Café Joyeux.
Ses services couvrent un large spectre de besoins métier, allant des CRM (Customer Relationship Management ou gestion de la relation client) au marketing automation en passant par les ERP (Enterprise Resource Planning ou planification des ressources d’entreprise), la création de sites web ou encore le développement d'applications sur mesure. L'objectif est de fournir des solutions innovantes permettant aux entreprises de se concentrer sur leur cœur d'activité, en automatisant leurs processus opérationnels.
Une levée de fonds pour accélérer la croissance et renforcer le leadership
Avec cette levée de fonds de 2 millions d'euros, TurnK va pouvoir passer à la vitesse supérieure. Les fonds seront utilisés pour renforcer les équipes de la start-up, accélérer le développement de ses solutions no code / low code et offrir une automatisation rapide et économique des processus métier à un nombre croissant d'entreprises.
Cette opération va également permettre à TurnK de consolider sa position sur le marché français et de développer de nouveaux partenariats stratégiques pour enrichir ses offres. La jeune pousse entend bien s'imposer comme le leader du no code / low code en France, en démocratisant l'accès à ces technologies auprès des PME et des ETI (Entreprise de taille intermédiaire).
Pour les investisseurs, le potentiel de TurnK est évident. “Nous avons été séduits par le dynamisme d’Hubert et de ses équipes. Dans un contexte de multiplication des logiciels no code ces dernières années, TurnK apporte une réponse simple et efficace aux entreprises qui souhaitent utiliser ces solutions”, déclare Vincent Brousse, Directeur Investissement Innovation d’IRDI Capital Investissement, dans un communiqué de presse.
Avec cette levée de fonds réussie, TurnK confirme la pertinence de son positionnement et la robustesse de son modèle économique. La start-up a su identifier un angle mort du marché et y apporter une réponse technologique adaptée, en phase avec les enjeux de compétitivité et de transformation numérique des entreprises.
